Découvrir

Bien que résistants au froid et à de nombreuses maladies fongiques, les cépages " baco " plantés à proximité de la Mairie et de la Salle Maurice Dufau, nécessitent des soins qui leurs sont prodigués par nos employés communaux.
Deux pieds réputés moins robustes avaient disparus...
Merci à Daniel Dufau et Bernard Matabos qui n’ont pas hésité à parcourir plusieurs centaines de kms pour nous les ramener d’Eauze.
Désormais ces 2 plants de « Céline » et « Douriou » ont retrouvé leur village d’origine et vont poursuivre leur croissance parmi les autres hybrides bélusiens
Le village de Bélus constitue un des points culminants du territoire (127 m d'altitude), justifiant ainsi la splendeur des paysages que l'on y découvre sur la vallée des Gaves, la chaîne Pyrénéenne, les vallonnements de Chalosse ou encore la forêt landaise.
Avec une densité de 52 habitants au km², les 616 habitants (appelés Bélusiens, Bélusiennes) de la commune de Bélus vivent sur un territoire d'une surface de 11,89 km².
Orgueil justifié par la splendeur des paysages que l'on y découvre sur la vallée des Gaves et la chaîne pyrénéenne.
Bélus, le "toit du pays d’Orthe" domine en effet depuis son clocher toute la plaine des Gaves et étale vers le Nord un vaste plateau vallonné dont les paysages laissent l’imagination vagabonder.
Mais qu’en est-il de l’histoire de Bélus ?
Les maires de Bélus
Après recherche dans les anciens registres de délibération, nous avons pu établir la liste des maires de Bélus.
Deux édifices constituent le noyau historique du village, son église et sa caverie, tous deux datés du XVIème siècle, ce qui paraît bien tardif au regard des mentions anciennes de seigneurs caviers de Villenave dès le XIVème siècle. Un troisième bâtiment, la maison de Lucq, une maison noble, conserve des éléments semblant appartenir au XVème siècle.
En 1992, à l’occasion du centenaire de l’école, la directrice de l’école de Bélus, aujourd’hui à la retraite, retraçait l’histoire de l’école publique du village depuis 1831… Elle nous a très aimablement livré le fruit de son travail, dont nous vous dévoilons une partie…
Le XVème siècle, qui voit la défaite des Anglo-Aquitains dans la guerre de Cent Ans et les bouleversements que cela va entraîner, n’est pas très bavard sur l’histoire de la caverie, et il faut attendre le XVIème siècle pour en connaître un peu plus. En 1500, courte mention de Georges de Villenave dont la sœur, Gracianotte (on n’est pas certain qu’elle soit une descendante de Charlot d’Orthe), épouse en 1515 Pes (ou Pierre) de Labadie, notaire.
Les Saint-Martin, seigneurs de Lucq
On connaît des Saint-Martin en pays d’Orthe dès la fin du XIVème siècle, le premier étant Barthélémy, maréchal d’Orthe, le second, Jean, écuyer du vicomte en 1424. Mais sans précision.